« Violino romano »
Au XVIIème siècle l’engouement pour le violon en tant qu’instrument soliste est marqué, mais son âge d’or baroque a débuté à Rome le 1er janvier 1700, le jour où Arcangelo Corelli dévoila son Opus V. Cette collection essentielle de sonates pour violon changea complètement l’esprit des compositeurs dès les années suivantes. D’autres musiciens romains ont également contribué à cette évolution. On peut donc dire que Rome a été un haut lieu de rayonnement de la musique européenne de cette époque, berceau de l’Arcadie et par là même de l’esthétique musicale moderne.
L’ensemble Imaginarium
Fondé et dirigé par Enrico Onofri, l’ensemble Imaginarium, “la place des images”, réunit un groupe de musiciens qui apparaissent tous dans d’autres ensembles de musique ancienne. Ils engagent par une même expiration leur être tout entier, à l’instar du danseur qui sait qu’une fois lancé, la marche arrière n’est plus possible. L’entente entre eux est parfaite et chacun veille aux mouvements du virtuose acrobate qui évolue sans filet, mais en toute liberté.
Enrico Onofri, violon et direction musicale
Alessandro Palmeri, violone romano Simone Cimapane 1685
Simone Vallerotonda, archiluth
Riccardo Doni, clavecin
« Violino romano »
Au XVIIème siècle l’engouement pour le violon en tant qu’instrument soliste est marqué, mais son âge d’or baroque a débuté à Rome le 1er janvier 1700, le jour où Arcangelo Corelli dévoila son Opus V. Cette collection essentielle de sonates pour violon changea complètement l’esprit des compositeurs dès les années suivantes. D’autres musiciens romains ont également contribué à cette évolution. On peut donc dire que Rome a été un haut lieu de rayonnement de la musique européenne de cette époque, berceau de l’Arcadie et par là même de l’esthétique musicale moderne.
L’ensemble Imaginarium
Fondé et dirigé par Enrico Onofri, l’ensemble Imaginarium, “la place des images”, réunit un groupe de musiciens qui apparaissent tous dans d’autres ensembles de musique ancienne. Ils engagent par une même expiration leur être tout entier, à l’instar du danseur qui sait qu’une fois lancé, la marche arrière n’est plus possible. L’entente entre eux est parfaite et chacun veille aux mouvements du virtuose acrobate qui évolue sans filet, mais en toute liberté.
Enrico Onofri, violon et direction musicale
Alessandro Palmeri, violone romano Simone Cimapane 1685
Simone Vallerotonda, archiluth
Riccardo Doni, clavecin

